Quand la pluie tombe, elle y est toujours, with Varek.

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Quand la pluie tombe, elle y est toujours.

Varek & Jazmine.

La pluie tombait, il n'y avait personne sur la plage, sauf une brunette pas très grande. Eh oui, je parle bien de Jazmine. Il adorait la pluie et ici, il pleuvait régulièrement, surtout les pluie comme aujourd'hui, il ne faisait pas vraiment froid, mais la pluie était forte. Les vêtement de la jeune fille étaient mouillé tout comme ses longs cheveux bruns qui lui collait à la peau. Elle marchait au long de la plage depuis un moment, elle avait marché de chez elle.

Pour une fois, elle pensait à rien, la plupart du temps, elle se pause tellement de questions qu'elle donne mal à la tête de loups qui l'entendent. Que voulez vous, elle ne changera pas pour personne. Elle marchait sans se soucier de ce qui l'entourait, elle adorait la sensation des goutes qui tombait sur sa peau.

Elle pensait aux quelques semaines qu'elle venait de vivre, disons qu'elles l'avaient perturbées, depuis ses quelque semaine, elle a passer d'humain à louve, de personne normal à une créature. Elle se détestait en quelque sorte, incapable de s'accepter. Jaz' devait apprendre à s'appréciers. Ce qui lui parassait assé dûr, même impossible. Il devait être 20 heures, elle commençait vraiment à souger à rentrer, même si l'envie n'y été pas, c'était surtout pour pouvoir passer le temps, autrement que de marcher sur la plage, même si elle aimait ça, c'est qu'on allait sûrement se demander ce qu'une fille d'envion 16 ans, faitsous la plus, un soir de semaine.

Elle allait faire demi tour quand une haudeur familière lui devu au nez. Elle approchait de plus en plus. C'était celle de son mentor, Varek. Elle le connaissait depuis pas très longtemps, il était son mentor et elle n'est pas louve depuis un siècle, seulement depuis deux ou trois semaines. Tous lui était nouveaux. Elle décida donc de rester et attendre qu'il arrive. Son hodeur venait, plus il avançait, plus elle le sentait. il l'avait lui aussi probablement sentit.

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Cela s’était passé quelques jours plutôt et pourtant personne n’aurait put en croire ses yeux en voyant ce qui allait se dérouler à présent… Varek, le plus hargneux des représentants canins solitaires s’était finalement lié avec une gamine de la meute…Lié était un bien grand mot. Une sombre idée lui était soudainement venue en tête lorsqu’il l’avait vu antérieurement en compagnie de quelques uns de ses congénères lycanthropes. Pourquoi ne pas dessouder le groupe, l’affaiblir au maximum avant de passer aux choses sérieuses? Elle paraissait un peu à l’écart du fait de son jeune âge ce qui en faisait une proie idéale et d’autant plus façonnable au point de vue comportemental. Du moins c’est-ce que le vieux pensait étrangement au premier coup d’œil sur elle.

La pluie s’écrasait harmonieusement sur les feuilles des peupliers en cette nuit… un goût bien amer restait en travers de sa gorge, celui de sa cuisante défaite contre la Satine sur cette même plage, sur laquelle il se rendait, dont les écorces des feuillus à la lisière portaient encore les sombres cicatrices. Éternel repère de sa honte, cela le rendait encore plus furieux contre lui-même de n’avoir pu laisser ses coups partirent à certains instants durant le combat. Juste par le simple fait qu’il ne s’agissait que d’une femme car bien que bourru et vulgaire, Varek respectait le sexe faible qui lui avait tant apporté jusque là. C’était donc l’air pincé qu’il voguait aux gré des troncs, ressentant le bien fait de l’appel de la nature couler dans son sang, pratiquement à la limite de la métamorphose afin de laisser parler la bête endormie au plus profond de son âme. Il s’adossa un moment contre le corps rugueux d’un des habitants de la forêt, la tête légèrement inclinée vers le ciel en se délectant des fines perles fraîches et humides lui caressant le visage. Une chose au moins d’agréable dans ce monde de sauvage qui l‘apaisait étrangement.

L’homme loup s’immobilisa, voulant que cet instant magique de part sa simplicité ne cesse. Il ferma instinctivement les yeux pour en ressentir toute la merveille et lorsqu il fut baigné par la noirceur totale, une curieuse impression le sortit de ses doux rêves de pensif. Qu’était-ce donc? Un arome à la fois connu mais distant. Une touche de couleur féminine mais aussi animale. Sa tête roula contre le tronc visant la direction d’où émanait cet étrange parfum et il en fixa l’origine au travers des arbres, se questionnant lui-même sur la personne qui pouvait en être la cause. Des odeurs? Il en avait tellement flairé que depuis le temps, il en perdait toute notion. Mais curieux et malin, il se mettait un point d’honneur à en découvrir tous les mystères ce pourquoi il se releva et s’ébroua rapidement pour se détacher des gouttes de pluie sur sa veste délavée.
Dissimulé à présent sous un capuchon, il se dirigea d’un pas lent mais furtif vers la plage d’où provenait l’objet de toute cette attention particulière… La Satine peut-être? Ses yeux s’illuminèrent lorsqu’il pensa à elle et aussi rapide que l’éclaire, il mit en place un plan satanique dans l’espoir de prendre sa revanche sur elle. A peine arrivé à la lisière, il grimpa dans un arbre et se faufila jusqu’à ce qu’il ai une vision de la baie suffisamment éclairée mais à sa grande surprise, c’était la jeune louve Jazmine qui attendait patiemment sur le sable détrempé.
Sans penser à mal, il sauta de son perchoir et retomba lourdement une main à terre, s‘enfonçant dans ce curieux matelas spongieux. Pouark…. Quelle horreur, les grains de silice lui collaient sur l’épiderme à présent! Il secoua son bras légèrement mais en vain. Tant pis, cette satanée saloperie partirait avec la pluie dans quelques temps. Il s’approcha d’elle, la tête baissée alors que ses yeux la fusillaient du regard sous son épaisse capuche lui cachant ses traits tirés.

« T’es pas couchée à cette heure la jeune? On se remet en cause soi même encore une fois peut-être? Papa et Maman vont être très inquiets….»

Il lui tourna autour comme un prédateur cherchant à la destabiliser, à lui faire un temps soit peu une petite frayeur mais sans plus car il n’avait nullement l’intention de la faire fuir. Elle devait lui servir plus tard, il en était totalement conscient et ne pouvait se permettre de risquer la moindre accroche avec elle. Aussi il s’approcha de la bordure de l’eau en lui laissant un peu le champ libre et plongea sa main dans l’eau….Mon dieu ce qu’elle était froide même au bord!

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Malgré le fait qu'elle l'avait sentie venir de loin, Jazmine se sentis mal à l'aise et elle eut même un peu peur. Elle le connaissait que très peu et Varek était froid, même si la pluie ne rendait pas cette endroit super, le fait qu'il soit là, la rendait encore plus sombre. Son capuchon n'aidait probablement pas et sa façon d'avoir tourné autour de la jeune fille, parcontre, elle ne voulait pas fuir, il y a quelque semaine, elle serait probablement partie, presqu'à la course, mais aujourd'hui tout était différent, tout, elle ne voyait plus rien de la même façon, elle ne se sentait plus du tout la même. Elle se fou de tout et ne s'attarde plus aux détails. Seux qu'il la connaissait, vous diraient que ce n'est plus la même. Mais au fond, qui la connaissait vraiment avant ?

Le grand homme se dirigea vers le bord de l'eau après lui avoir pausé quelques questions. Jazmine n'avait pas répondut. Elle le regardait tournée autour d'elle et cherchait sous sa capuche ses traits du visage qui ne se voyait plus, à cause de la nuit. Elle se sentait légèment menassé, mais elle ne laissait rien se voir, jamais avant, elle n'aurait osé le fixé, lui ou qui conque qui lui tournerait autour de cette façon. Elle aurait tout fait pour sortir de cette situation en perdant son sang froid à tout coup. Elle finit par répondre quelque seconde après qu'il se soit pensé près de l'eau .

« Non, comme tu peux voir, je ne dors pas. Je me remets en questions ? Peut-être bien, mais ça ne serait pas surprennant et papa et maman, qu'ils s'inquiètent, ça sera marrant à mon retour. »

Sa réponse avait été dite sur un ton sans expression, sans sentiments. Rien ne traversait les paroles de la nouvelle louve. Elle continua de marcher d'un pas lent, sans attendre Verak qui était toujours au bord de l'eau, ce qu'il faisait ? Jazmine s'en foutait. S'il veut de la compagnie, il viendra la voir, sinon, qu'il partent, elle sera aussi bien seule.

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Le froid mordant de l’eau salée venait soudainement de lui engourdir le bout de ses doigts. Il sorti sa main rapidement comme pris de surprise sous le contraste fulgurant de cette température glacée contre celle de son propre sang bouillonnant au cœur de ses veines. Cœur battant, il se retourna et la vit s’éloigner à petit pas le long de la plage… Quelle audace cette gamine, elle aurait put se rapprocher de lui mais non et Varek n’appréciait nullement le fait d’être ignoré de la sorte. Il pris donc la liberté de ramasser un morceau d’algue qu’il imbiba rapidement de cette fraîcheur incroyable au creux de sa main et d’y rajouter par vice un peu de sable en la laissant traîner sur le banc de silice souillé par cette pluie indomptable. Il allait s’amuser de son impertinence avec une joie sadique que tout autre aurait certainement très mal pris mais peut-être pas la jeune fille qui ne semblait pour le moins du monde dérangée par sa présence hautaine.

Elle allait sans doute le regretter amèrement après et cette petite pensée sauvage fit sournoisement sourire le Lycan d’âge mûre. Il incurva légèrement la tête sur le coté et resta là à la regarder encore et toujours s’éloigner au travers des fines perles de pluie tombant sans fin… Quel triste temps pour une sortie nocturne. Mais une toute autre chose inquiéta Dorianne. Le fait qu’elle se retrouvait ici en cette soirée le laissait pour le moins perplexe. Il l’avait à de nombreuses reprises suivit de loin pour s’apercevoir finalement qu’elle était du genre réfractaire à toute amitié de la meute mais de là à s’aventurer seule sous la pluie battante... Un peu le genre dépressive peut-être… Bon c’était tout à fait normal pour elle de se rechercher pendant cette période de transition par laquelle Varek était lui-même passé autrefois. Mais à l’instar de cette jeune écervelée, lui avait été seul et s’était très bien fait à sa nouvelle condition, qui de surcroît, lui avait permis d’échapper à un sort peu enviable. Il se releva d’un geste très vif et s’approcha à pas de géant en la rattrapant et sauta au dernier instant d’un geste rapide et léger malgré sa corpulence massive juste devant l’adolescente.

« Hey gamine. Il faudrait un peu que je te montre ce qu’est la politesse et le respect envers tes ailleuils. On a du boulot tous les deux. »

Fièrement dressé en face d’elle, il se décapuchonna d'un mouvement d'épaules désarticulées et lui montra tout d’abord ce qu’il tenait malicieusement dans la main. Un rictus gravé jusqu’à ses pommettes se dessina lorsqu’il glissa cette chose organique dans les cheveux de Jazmine. Puis il la scruta du regard. Il chercha dans le reflet de son âme ce qui pourrait un peu soulager cette esprit perturbé et finalement lui décocha une légère frappe sur la pointe de son menton d’où ruisselaient de fines gouttelettes.

« Tiens t’as meilleure mine comme çà.
A chacun de savoir s’accommoder de la chose…Moi je l’ai pris comme un don, une bénédiction. C’est regrettable que dans ton cas, tu n’y vois apparemment qu’une malédiction. »

C’était pourtant évident que la gosse était mal dans sa peau, rien qu’à la voir mais Varek ne faisait pas dans le social. Encore l’une des raisons qui l’avaient empêché de poser trop de questions sur les parents de la gamine auxquels ils ne connaissaient absolument rien mais dont la réponse de Jaz’ avait attisé sa curiosité naturelle.

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La jeune adolescente avait contionuée son chemin depuis un petit moment, elle avait eu le temps de s'éloigner, mais si elle se retournerait elle pourrait le voir facilement, malgré la pluie qui brouille la vue. Une petite seconde, elle cru qu'il était parti sans plus, trois questions et il repart, mais elle s'était trompée. Son arrivé, devant elle, l'avait fait sursautter. Il était arrivé d'un grand saut et comparé à la jeune Jazmine qui est petite et toute mince, lui il est très grand et il est assé impossant. Disons-le, elle préfèrait être son amie plustôt que son ennemie.

Comme elle peut comprendre, il n'avait pas apprécié qu'elle continue comme s'il n'était pas là. D'après ce qu'il venait de lui dire. Elle sourit légèrement et trouvait sa un peu drôle, simplement parce qu'habituellement, on disait toujours qu'elle était un enfant tellement polis à ses parents.

« Mon papa et ma maman serait très triste d'apprendre que leur petite fille à été impolit. »

Lui dit la jeune brune d'un ton remplit de sarcasme. Que vouliez vous qu'elle disent d'autre, je suis désolé, je ne recommencerai plus jamais. Non, pas vraiment, ce n'est pas son genre. Maintenant, elle sait au moins qu'il n'a pas trop aimé le fait qu'elle ne l'avait pas attendu. Un sourit se dessina sur le visage de l'homme impossant qui se tennait devant notre jeune louve. Elle ne savait pas trop pourquoi, elle tronça les sourcils et comprit rapidement lorsqu'il lui montra ce qu'il avait en main. Une algue, salle, mouillée et assée dégoutante. Il osa la mettre dans ses cheveux, oui, oui, Jazmine fut dégoutée. Sa bouche faisait maintenant un grand O. Évidamment, elle n'allait pas laisser cette chose dans ses cheveux, elle la prit de sa main droite, et la jetta dans le sable.

« Ahahah. T'es très drôle. Pour quelqu'un qui veut m'apprendre la politesse, c'est très mature. »

Après avoir dit cela, elle écouta ce que Varek lui disait, il avait peut-être raison. C'était peut-être un don, mais en quoi. Pour le moment, elle ne voyait pas ce que se don lui donnait. C'était peut-être parce qu'elle n'était pas encore habituer et qu'il lui restait encore beaucoup à apprendre sur ce bon. Et oui, pour ça, il avait raison, elle n'y voyait que les mauvais côté. Elle ne voyait pas que de se transformer en bête poillu lui serait en réalité un don. Elle ne voyait pas non plus, le fait que toujours devoir caché ce qu'elle est lui serait un bénéfice.

« Un don ? Une bénédiction ? Toujours devoir caché ce que je suis pour me protèger, tu parles d'un don. Je vois pas du tout ce que tu veux dire par don, parce que moi, tous ce que ça m'a apporter, c'est une meute qui ne m'apprécit pas et ça tombe bien moi non plus. »

Ce qu'elle venait de dire, elle le pensait vraiment. Peut-être qu'il allait lui ouvrir les yeux, lui faire comprendre que c'est bien plus, mais depuis ses quelque semaines, c'est tous se qu'elle voit. Elle devrait peut-être s'ouvrir les yeux, mais pour regarder où ? Elle ne le savait pas plus. Comme toutes les questions qu'elle se pause, sans aucune réponse.

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Rien de tout ce qu’il lui disait n’avait l’air de contenter la jeune fille. Quel bon parrain Varek faisait! Il regarda le bout d’algue voler à terre et s’écraser magistralement sur le sable. Lui qui voulait juste un peu détendre l’atmosphère, c’était gagné. Un coup de maître Varek mais son objectif principal avait été atteint, écoeurer la jeune par un moyen quelconque et gagner un peu de dignité dans son estime personnelle. Il resta sans bouger devant elle lorsqu’elle lui déballa finalement ce qu’elle avait sur le cœur…Oh noirs dessins pour un esprit aussi jeune! Cela en était presque touchant à force de l’entendre prononcer chaque syllabe chargée de cette rancoeur amère envers les siens. Il s’asseya donc près d’elle, sa tête arrivant au niveau de sa ceinture mais ne la levant point et resta à observer l’horizon ombragé du brouillard nocturne. Un silence lourd et pesant venait de prendre place entre les deux protagonistes de la scène dont seuls les cris persifleurs des goélands et mouettes argentées au loin dans la brumes se perdaient dans un échos enchanteresque accordé au son des vagues et du ruissellement des gouttes de pluie.

« Hume ce parfum jeune fille. Des moments comme çà, tu en connaîtra des milles et des cents dans ta longue vie. Mais jamais n’auront le même éclat qu’à cet instant précis et surtout plus en ma compagnie. »

Il n’allait tout de même pas lui réciter du Jacques Prévert quoique qu’un texte qu’il avait appris dans les cachots du camp lui venait en tête à chaque fois qu’il la voyait elle… Aussi étrange que cela ne puisse paraître, dans un murmure pratiquement imperceptible à l’oreille humaine, il se mis à réciter quelques vers de ce fameux poème en fixant cette ligne que dessinait au loin la surface de l’eau sous l'éclat bleuté de la lune naissante….« Il dit non avec la tête mais il dit oui avec le cœur, il dit oui à ceux qu’il aime il dit non au professeur… ». Une petite œillade discrète dans sa direction et il continua en la dévisagent, se redressant devant elle en lui tapotant la tête. « Il est debout, on le questionne et tous les problèmes sont posés. »
Sa main monstrueuse vint se poser lourdement sur ses cheveux et il se mis à rire en voyant la pauvre fillette ne comprenant pas exactement ce qui lui arrivait. Il la toisa par rapport à lui. Mon dieu qu’elle était petite comparée à sa carrure…Elle ne lui arrivait qu’au poitrail, une chose peut-être tout bonnement naturelle puisque théoriquement six années les séparaient. Elle avait bien le temps de pousser et même largement alors de quoi se plaignait-elle au juste. Elle ne commençait qu’à peine sa nouvelle vie et se trouvait déjà tout un tas de prétextes pour en détester les prémices.

« les gosses je vous jure! Toujours en train de brailler pour n’importe quelle raison…c’est saoulant à force. Commence donc par arrêter de te plaindre et à te concentrer sur tes capacités. Te protéger? C‘est à la meute de le faire mais la tienne, elle semble complètement has been. »

Sur ce il l’attrapa par le cou et d’un geste précis et rapide la souleva du sol en la prenant dans ses bras puis se dirigea vers le bord de l’eau…non sans mal car la bougresse tentait de s’échapper de son étreinte. Varek en avait vu d’autre et ne prêta nullement attention à ce que la jeune demoiselle lui rouspillait mais plutôt très attentif à cette eau glacée qui tantôt lui avait prodiguée un léger frisson dans l’échine. Une chaussure pénétra dans le liquide glacé puis l’autre, il continua d’avancer jusqu’à ce que la texture de son pantalon soit finalement imbibée à hauteur de genoux et la balança allègrement dedans.

« A la flotte la môme…deuxième leçon de vie et c'est gratuit: le vrai pouvoir c’est de contrôler et ses peurs et ses réactions. »

C’était çà le plus grand défi qu’elle allait devoir relever, s’octroyer puissance et force, une conviction personnelle sur sa capacité à surmonter ses plus profondes craintes… Grandir? Ce n’était qu’une question de temps et la meute sera obligée de l’accepter en son sein s'il n'allait pas finir lui même par la faire pencher du coté obscur très vite...

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Jazmine venait de ce vider le coeur, elle avait dit ce qu'elle avait a dire en gros. Avec lui, elle ne s'attendait pas à un pauvre petite, tu verras tout va aller pour le mieux. non, pas du tout, si il lui aurait sortit quelque chose du genre, elle aurait été la première surprise. Par contre, elle ne s'attendait pas à un silence et qu'il s'asseoit dans le sable mouillé qu'il allait lui coller au pantalon, comme l'algue qui avait mit dans ses cheveux. Elle se retourna vers la dirrection où il regardait au début, elle se demandait ce qu'il pouvait y avoir pou qu'il s'asseoit et regarde au loin ainsi. Les orteilles qui sont vers le nord et la tête qui regarde vers le sud, la jeune louve finit par se retourner, car rien ne semblait être spéciale dan cette dirrection, d'un côté où de l'autre, il y avait de la pluie, une plage et au long, la forêt qui commençait.

Une envie lui passa par le tête, faire comme il n'y a pas cinq minutes et continuer son chemin, mais bon, son souvenir d'algue aussi lui repassa par la tête et elle décida d'attendre un signe de vie du grand homme assit au sol avant de faire quoi que ce soit. Elle ne voulait pas savoir ce qu'il aurait fait si elle aurait continuer sa route. Elle regardait le sol, sess pied en réalité, plus précisément, les gouttes qui y tombaient, une après l'autre, le temps passait plsu vite ainsi, même si ça ne faisait pas une éternier qu'il s'était assit. C'est quand il reprit la parole que notre jeune louve repausa son regard sur la vue. Il venait de lui dire en gros de profiter du moment, parce que même si elle allait en vivre des centaines et même plus dans sa vie, avec lui, c'était surment le dernier. Il n'y avait rien de spécial au fait d'être sur la plage, au début de la nuit avec quelqu'un qui est assit dasn le sable mouillé pendant une pluie abondante.

Même si la plupart du temps, Jaz' est du genre à briser le moment et dire quelque chose qu'on ne veut entendre, là, elle décida de se la fermer. Un autre silence s'intalla, un soupire, mince, qu'aucun humain entendrait sortie de la bouche de l'adolescente ennuyer. Elle n'avait pas envie de rester plantée-là très longtemps. Elle ferma les yeux quelque secondes, mais une grosse voie masculine reprit la parole. Ce qu'il disait ? Il commençait à lui résiter un poème, elle en avait entendu de ce genre au Lycée, mais bon, elle ne s'en souvenait plus vraiment, elle n'est pas du genre à tout écouter en cours. Enfin bref, il était a présent devant Jazmine a finir son poème. Il posa sa grosse main dans la longue chevelure brune presque noir de cette jeune adolescente, là, elle ne comprenait vraiment plus, on pouvait le voir dans ses yeux c'était presque sûr à 100%. Elle ne savait pas si elle devait dire quelque chose ou le laisser dans son poème. Verak la dévisagea, pourquoi ? Elle n'en savait rien, mais bon, elle, elle cherchait toujours à comprendre.

Cette grande créature reprit la parole et là, Jaz' comprit un peu plus ce qu'il voulait dire. Enfin, elle comprit vraiment, mais cette fois-ci, elle ne put dire un mot. Elle était maintenant les pieds dans les airs, une main géante dans le cou. Elle essaiyait comme elle le pouvait de détacher cette main de son cou sans y parvenir. Elle ne savait pas controller sa force, même si elel est une louve et elle est supposer être très forte, elle n'était pas capable de la contrôler. Il se dirigeait vers l'eau et elle se demandait sérieusement pourquoi il faisait cela. Il voulait sa mort ou quoi. Un petit grognement s'échappa de la bouche de Jaz'. Elle ne vu rien du reste venir et elle attérit dans l'eau. De l'eau glacée, Jazmine n'avait jamais mit les pieds dans de l'eau aussi froide, jamais avant elle n'avait eu l'envie ou l'occasion de le faire. Comme elle ne s'attendait pas tomber dans l'eau, elle s'étouffa avec ce liquide glacée et salé finit par se relever assé énerver.

« Non, mais c'est quoi ton problème ?! »

Dit elle avant de tousser encore un peu étouffée. Elle finit par écouter ce qu'il avait a dire et reprit la parole en colère. Elle avait eu peur et comprenait pas vraiment ce que ça lui apportait, okay elle devait apprendre à contrôler ses réactions et ses peurs, mais elle ne voit pas vraiment ce que se faire lancer dans l'eau glacée et après ce le faire dire lui apportait. S'il lui avait fait savoir et après fait quoi que ce soit, au moins, elle aurait peut-être pu essayer de contrôler ses réactions et tout, mais là, elle avait envie de tuer.

« Je dois être capable de contrôlé mes peurs et mes réactions quand je suis paniquée et que je ne sais même pas me contrôlée ? Ahh oui, et puis je fais ça comment moi, je suis peut-être plus humaine, mais j'en suis pas arrivé là encore moi. »

Ajouta la jeune adolescente en colère.

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Découvrez James Newton Howard!

Varek avait été particulièrement hautin voir même un peu trop violent sur les bords ce qui pour le jeune fille devait passer pour une agression purement gratuite. Mais bon sang, il était tant qu’elle se forge un caractère elle aussi… Même à 16ans, si elle voulait se sortir de cet état de léthargie vis à vis du groupe, il lui faudrait bien plus qu’un simple coup de pouce venant de la part d’un ailleuil. Il la regarda, souriant jusqu’aux éclats du malheur de la jeune fille….ne dit-on pas que le malheur des uns fait le bonheur des autres? Sous sa colère, lui, il lui tapota sa tête légèrement.

« Voilà encore des sauts d’humeur mademoiselle qu’il faudra contrôler. Et c‘est justement pour cela que je te pousserais à bout ma petite.»

Il approcha un peu plus et la dépassa, l’eau froide imbibant de plus belle son pantalon, le regard tourné vers l’obscure horizon. Il plaça les mains dans ses poches et secoua légèrement sa veste pour se débarrasser de nouveau de la fine pellicule de rosée sur son imperméable, du moins sa veste qui commençait à légèrement prendre l’eau au fur et à mesure. La jeune qui était dans son dos ne prêchait que viles paroles, incompréhensibles pour un humain mais très éloquentes pour un loup tel que Varek. Il inclina la tête en arrière, profitant de ces douces perles lui fouetter agréablement le visage sans dire de mots…Non juste se délecter du moment présent, trouver en chaque chose négative une idée nouvelle, un coté magique. Dans les ténèbres Dorianne parvenait à découvrir la lumière et dans le cœur de cette louve écervelée, une lueur d’espoir. Faible clarté certes, mais un rayon lumineux quand même. Il braqua son regard juste un instant sur les vaguelettes se répercutant contre la toile de son pantalon, certain qu’il ne s’agissait que d'un insignifiant détail mais pourtant...

« Toute chose mérite une attention particulière, même infime soit-elle. Tu vois cette petite particule que l’on appelle l’eau? Elle a sur moi un grand pouvoir malheureusement. Je suis incapable de me transformer à son contact. »

Il se retourna et lui fit fasse, observant la gamine avec un profond sentiment de compassion. Qu’elle le déteste, très bien! Mais au moins qu’elle apprenne de cette haine à contrôler ses émotions car il était évident que si elle commettait un dérapage, Varek reprendrait aussitôt le contre de la barque. Sous l’apparence d’un loup ou d’un humain peu importe. Il la contrôlerait et lui ferait honte si cela devait être nécessaire. Jamais il ne s’était laissé maîtriser et ce n’était pas une novice qui allait lui apprendre le respect et les bonnes manières. Elle n’avait pas à se comporter comme cela puisque d’autant plus, à présent une lycante, le froid de cette eau ne viendrait à bout de sa santé. Beaucoup de choses, peut-être trop, lui restait encore à découvrir mais tous deux avaient désormais l’éternité pour les enseigner et les apprendre. Il se dirigea vers le rebord et quitta ses chaussures et en profita pour les secouer légèrement même sous cette pluie battante. D’une main ouverte, il posa un regard inquiet sur la jeune fille et l’invita à le suivre. Retirant sa veste, il lui intima l’ordre de se rapprocher.

« Montre moi au moins de quoi tu es capable alors…Vas-y transforme toi. Il n’y a personne à la ronde, tu n’as donc aucun gêne à avoir. »

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